« La prochaine mise en liquidation du groupe Doux ne peut que frapper les esprits et créer une forte inquiétude car bien entendu c’est une page de l’histoire industrielle de la Bretagne qui se joue » avait réagi Loïg Chesnais-Girard le 23 mars. « Elle ouvre une période dont l’issue sera soit la fin de l’entreprise, soit un nouveau départ avec un projet de reprise. Dans cette période de craintes et de doute, je veux rappeler ma totale solidarité avec les salariés de l’entreprise, les éleveurs et l’ensemble de la filière ». La Région défends trois principes clairs : D’abord, le maintien d’un maximum d’emplois sur le territoire, dans l’entreprise et chez les fournisseurs et les éleveurs. Ensuite la volonté que la Bretagne reste un acteur majeur de la volaille et préserve ses savoir-faire. Et enfin que le ou les projets soient crédibles économiquement et durables pour les salariés, les fournisseurs et les éleveurs.
Le lundi 26 mars, la région a voté à l’unanimité une proposition permettant d’engager un soutien financier pouvant aller jusqu’à 15 M€ afin d’accompagner un projet de reprise du groupe.
Depuis le mois d’octbre dernier la région peut en effet entrer au capital d’une entreprise privée.
La région avec Doux
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